L’éloquence :
1)
Le
jeune romain était confié au grammairien puis aux rhéteurs
2) Les
partisans du style attique revendiquent une éloquence simple, nerveuse,
dépouillée contrairement aux partisans de l’asianisme qui prônent une éloquence
élégante et somptueuse
3)
La
rhétorique vise à la persuasuion : « suadere » qu’elle peut
obtenir par l’argumentation : « docere » et le plaisir de
l’esthétique : « delectare » ou l’émotion :
« movere »
4)
Les
trois types d’éloquence sont : judiciaire, délibérative ou politique et
épidictique.
5) Les
cinq domaines que l’orateur devait maîtriser : l’« inventio »
(la recherche des idées), la « dispositio » (l’ordre et la proportion
des parties), l’« elocution » (le choix des mots et des figures), la
« memoria » (le recours à la mémoire) et enfin l’« actio »
les effets liés à la voix, la diction les gestes)
6)
Le
discours devait être composé de quatre parties : le « premordium »
ou « exordium » (l’exorde, l’introduction pour capter l’intention du
lecteur), la « narration » (exposé de la cause, bref clair et
convaincant), la « confirmatio » (la confirmation, le fait d’étayer
son point-de-vue) et enfin le « peroratio » (peroraison, conclusio du
discours)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Publier un commentaire :