Français : lecture complémentaire de Pensées de Blaise Pascal


HALM vous propose de pouvoir télécharger les articles avec un contenu complet et sans virus directement sur votre PC/Mac. Ces documents ont pour avantages d’être organisé, de posséder, pour certain, un contenu imagé pour une meilleur compréhension, etc... Pour accéder au document, cliquez sur le lien, patientez, cliquez sur "accéder au lien" en haut, patientiez de nouveau, puis cliquer sur « continuer » en haut à droite
Lien de téléchargement : http://www.clictune.com/id=230082



Texte complémentaire : Blaise Pascal, Pensées, 1670


Blaise Pascal, né en 1623 et mort en 1662, est un philosophe et un scientifique. Ses domaines prisés sont les maths et la physique mais dans le domaine philosophique, il est un théologien qui s’intéresse aux questions religieuses et à Dieu. Son unique œuvre est les Pensées : il s’agit d’articles discontinus, d’une continuité de séries de fragments, remis en ordre et classés en chapitre par ceux qui l’ont éditée, c’est-à-dire sa sœur et des amis. Cette œuvre est l’apologie du Christianisme car il en fait la défense mais il fait également une analyse de l’homme.

Texte qui cherche à répondre à « qu’est qu’un homme dans d’infini ? » ligne 19. Cette question est placée au milieu du texte (pourquoi l’auteur a-t-il placé la question au milieu du texte). La réponse à cette question vient juste après mais on peut deviner (implicitement).

Des lignes 1 à 14 : la grandeur et la complexité de l’univers : par rapport à l’infiniment grand, l’homme n’est rien, une petite chose « petit cachot » (2ème paragraphe).
Des lignes 21 à 38 : à côté de l’infiniment grand, il y a un infiniment petit. Par rapport à ce dernier, l’homme est grand « colosse » (ligne 38).

Conclusion : Pascal cherche illustre l’idée de relativité : l’homme est pris entre deux infini (macroscopique et microscopique) et a donc une position inconfortable car il est condamné à ignorer son environnement c’est-à-dire ce qui est trop grand et trop petit pour lui.

L’Homme au XVIème – XVIIème (et aussi un peu au XVIIIème) est marqué par la découverte astrologique et microscopique, ce qui amène les philosophes à replace l’Homme à sa place dans le monde et à perdre conscience de la relativité et la fragilité de leur place.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Publier un commentaire :